"La veneration que j’ay pour ce grand Ministre va au delà de ce que je vous sçaurois dire. Car je reconnois en luy une etendue de lumieres qui passe même l'usage du ministere. Ordinairement les ministre[s] sont, pares negotiis, non supra. Mais pour luy, je trouve que son esprit outre la force necessaire pour porter le poids de toutes les affaires importantes de tant de grands Estats a encor cette beauté qui le fait affectionner les connoissances belles et curieuses autant que pourroit un homme de loisir." (Leibniz an J. J. J. Chuno, 3. März 1695; I, 11 N. 205, S. 304).
"Il seroit difficile d’outrer les choses en parlant du merite de Mons. de Danquelman." (Leibniz an J. J. J. Chuno, 21.-24.(?) 4. 1695; I, 11 N. 287, S. 414).
"[...] un premier Ministre dont les lumières sont universelles" (Leibniz an É. Chauvin, 8. Juni 1696; I, 12 N. 403, S. 623).
" [...] un des plus grands Ministres du Monde, qui a le genie si elevé et si etendu en méme temps." (Leibniz an J. J. J. Chuno, 17. Oktober 1697; I, 14 N. 346, S. 592).
Fundstellen überprüft. Die Angabe I, 10 S. 328 scheint auf einem Druckfehler zu beruhen.