Leibniz' Urteil: "Depuis que j’ay eu celuy [sc. le bonheur] de faire la reverence à Sa Mté, je l’ay admiré et aimé (si je l’ose dire) [...]. Il paroist qu’il a tousjours manqué de constance, et souvent de bons ministres. Il a employé quelques fois des voyes trop detournées. C’est un esprit grand, penetrant[,] elevé, genereux[,] mais si changeant, qu’il semble que ce sont deux personnages. Il va aux extremités, il est capable d’une grande application, et puis d’un grand relachement. Charles II. Roy de la Grande Bretagne, avoit quelque chose de semblable. Il ne s’appliquoit aussi que par paroxismes. Si le Roy se fixe jamais et se fait une maniere d’agir plus unie et qui puisse durer, je ne desespererois point qu’il pourroit reparer tous ses malheurs." (Konzept von Leibniz' Brief an Matthias Johann von der Schulenburg vom 19. Februar 1707; I, 27 N. 61).

Fundstellen überprüft. I, 10, S. 688 ist zu streichen. I, 12, S. 617 bezieht sich vielmehr auf Kurfürst August von Sachsen. III, 6, S. 361 ist zu streichen.

Sohn