Leibniz' Urteil:
"[...] ses speculations quelques belles qu'elles soyent, tiennent plus de l'idée, que de la practique [...]." (Leibniz an Herzog Ernst von Hessen-Rheinfels vom 20.(?) August 1685; I, 4 N. 320, S. 374).
"Undt habe ich an dem Hn. Pater Malebranche so sonst mein guther freundt, nicht billigen können, daß er baldt die Critik undt untersuchung des Römischen undt Griechischen Alterthums, baldt die Lesung der Rabbinischen undt arabischen bücher, baldt den fleiß der Sternseher, baldt sonst etwas durchziehen will, da doch alle diese Dinge ihren Nutzen haben, undt guth daß Leute seyn, so ihr werck davon machen, welche man durch Lob bey ihrer mühe auffrischen undt nicht durch verachtung von der vor das gemeine wesen offt ohne belohnung unternommenen großen arbeit abschrecken muß." (Leibniz an Gabriel Wagner vom 30. Oktober 1696; II, 3 N. 83, S. 214. Ebenso II, 3 N. 202, S. 534 f.).
"Le pere Malebranche a beaucoup d'esprit, mais Mons. Arnaud écrit avec plus de jugement. Il y a quantité de jolies pensées dans la Recherche de la verité, mais il s'en faut beaucoup que l'auteur ait penetré bien avant dans l'analyse et generalement dans l'art d'inventer, et je ne pouvois m'empecher de rire, quand je voyois qu'il croit l'Algebre la premiere et la plus sublime des sciences, et que la verité n'est qu'un rapport d'egalité et d'inegalité, que l'Arithmetique et l'Algebre sont les seules sciences qui donnent à l'esprit toute la perfection et toute l'estendue dont il est capable[,] enfin que l'Arithmetique et l'Algebre sont ensemble la veritable Logique. Et cependant je ne voy pas que luy même ait grande connoissance de l'Algebre. Les louanges qu'il donne à l'Algebre se deuvroient donner à la Symbolique en general, dont l'Algebre n'est qu'un echantillon assés particulier et assés borné." (Leibniz an Ehrenfried Walther von Tschirnhaus vom 17. Oktober 1684; III, 4 N. 71, S. 170 f.).
Fundstellen überprüft. II, 2, S. 196:13, S. 292:2 und S. 631:7 sind zu streichen.